Accéder au contenu principal

Un auto-entrepreneur passionné à votre service,

Pour votre projet de site internet et vos dépannages informatiques

Les PC intelligents, pour quoi faire ?

Article publié le 7 Avril 2025
Dernière modification 17 Avril 2025

En tant que passionné suivant l'évolution du marché depuis plus d'une décennie, j'observe que l'ère des PC dits "intelligents" est désormais bien engagée. Tous les fabricants proposent maintenant leurs solutions. Mais comment reconnaître ces machines ? En quoi diffèrent-elles des PC traditionnels ? Quelles limites présentent-elles ? Est-ce le moment idéal pour investir dans un ordinateur boosté à l'IA ? Voici mon analyse complète pour vous aider à y voir plus clair.

Ces derniers mois, pratiquement tous les constructeurs tentent de nous séduire avec des ordinateurs dotés d'intelligence artificielle. Chacun y va de sa formule marketing : Microsoft les nomme PC Copilot+, tandis que Google mise sur ses Chromebook Plus. Mais ces deux exemples ne sont que la partie visible d'un vaste écosystème d'ordinateurs capables d'exploiter l'IA de façon extraordinairement rapide.

Après le CPU et le GPU, faites place au NPU !

Au cœur de ces machines dites intelligentes se trouve un nouveau composant qui cohabite avec le CPU traditionnel : le NPU (Neural Processing Unit) ou processeur neuronal. Cette puce spécialisée dans les calculs d'inférence accomplit cette tâche bien plus efficacement et rapidement que les processeurs classiques. Concrètement, elle consomme nettement moins d'énergie pour réaliser ces opérations complexes.

Pour fonctionner, ces fameuses tâches d'IA nécessitent un entraînement préalable. C'est précisément cet entraînement qui permet ensuite de trouver des réponses beaucoup plus rapidement. Depuis quelques années, nVidia domine le secteur matériel avec ses GPU et cartes graphiques, tandis que des géants comme Google, Meta, Microsoft, OpenAI, etc. développent parallèlement des langages toujours plus sophistiqués pour optimiser les résultats.

J'ai pu constater que les puces vidéo surpassent systématiquement les processeurs génériques en termes d'efficacité, quel que soit le fabricant ou l'architecture (x86 ou Arm). Cependant, cette supériorité s'accompagne d'un inconvénient majeur : une consommation d'énergie considérable. En effet, si les cartes graphiques calculent plus vite, elles sont aussi beaucoup plus énergivores. Sur un PC fixe, ce n'est pas particulièrement problématique, mais pour un ordinateur portable, les conséquences sont multiples : surconsommation, autonomie réduite et prix d'achat qui s'envole !

NPU à bord

Face à ce constat, les fabricants de puces comme Apple, AMD, Intel, Qualcomm et d'autres ont intégré une puce dédiée à ce type de calcul au sein du SoC, en complément du processeur ou de la puce vidéo. Cette unité de traitement, le NPU, reste souvent mystérieuse dans sa documentation technique : on connaît rarement sa fréquence de fonctionnement, ses caches, etc.

Les constructeurs se contentent généralement d'indiquer sa puissance effective exprimée en TOPS (Tera Operations Par Seconde). Quand on vous annonce qu'une puce offre 45 TOPS, cela signifie qu'elle peut réaliser 45 000 milliards d'opérations par seconde. À titre comparatif, un processeur classique traite environ une dizaine de TOPS... et encore, dans les meilleurs scénarios !

Qu'en est-il de nos PC ?

Depuis fin 2023, je constate l'arrivée sur le marché de processeurs équipés de NPU capables de gérer l'IA, principalement destinés aux ordinateurs portables. AMD et Intel ont été les premiers à proposer de telles solutions dans leurs "PC AI" inauguraux. En réalité, ces fonctionnalités étaient déjà exploitables depuis plusieurs années, mais uniquement via la puce vidéo. La véritable innovation résidait alors dans l'efficience promise, la puce pouvant traiter très rapidement les calculs avec une consommation extrêmement basse. Cependant, sur les premiers modèles disponibles, les capacités demeuraient relativement limitées. C'est ainsi qu'ont vu le jour les Core Ultra chez Intel et les Ryzen 8000 AI chez AMD.

Quand le marketing s'en mêle...

Actuellement, deux visions distinctes s'affrontent, portées par deux géants du secteur : Microsoft avec ses PC Copilot+ d'un côté, et Google avec ses Chromebook Plus de l'autre. Et leurs approches divergent considérablement.

Des composants simples chez Google

Les Chromebook Plus conservent l'essentiel d'un modèle standard, c'est-à-dire des composants simples et économiques, mais positionnés un cran au-dessus de l'offre habituelle. Ces machines intègrent au minimum des Core i3 de 12e génération d'Intel ou des Ryzen 3 5000 d'AMD, accompagnés de 8 Go de mémoire vive et d'un SSD de 128 Go. L'écran doit obligatoirement proposer une dalle Full HD IPS, complétée par une webcam offrant la même définition.

Fait intéressant : aucune puce dédiée à l'IA n'est requise pour l'instant, et pourtant certaines fonctionnalités d'intelligence artificielle sont bel et bien présentes. On retrouve notamment la traduction instantanée de vidéos, le sous-titrage en temps réel dans Zoom, l'amélioration du rendu de la webcam ou encore la personnalisation dynamique des fonds d'écran.

Google exploite ici Gemini, son IA maison, ce qui nécessite d'être connecté à Internet mais également de souscrire à ses offres spécifiques (22 € mensuels). Chez les partenaires de Google, ces Chromebook Plus sont disponibles à partir de 400 €, mais comptez une centaine d'euros supplémentaires pour les modèles mieux équipés.

Des NPU chez Microsoft

Du côté de Microsoft, pour bénéficier de l'appellation Copilot+, plusieurs prérequis doivent être satisfaits, dont Windows 11. Le premier est la présence d'un NPU offrant au minimum 40 TOPS. Exit donc les premières générations de PC IA équipés de puces Intel et AMD, qui disposaient pour rappel d'un NPU inférieur à 20 TOPS.

Les premières machines estampillées Copilot+ étaient exclusivement lancées sur les puces Qualcomm Snapdragon Elite/X. Depuis fin 2024, les puces Intel Core Ultra 200V (Lunar Lake) et Ryzen AI chez AMD ont fait leur entrée sur le marché, avec les premiers PC équipés début 2025.

Parmi les autres prérequis, on trouve une mémoire vive d'au moins 16 Go, un SSD de 256 Go, un clavier avec touche dédiée à Copilot, une webcam et un écran 1080p. L'objectif derrière ce cahier des charges exigeant est d'offrir une machine premium avec des fonctionnalités supérieures aux autres. Si les premiers modèles étaient relativement coûteux (entre 1300 et 1500 €), on trouve désormais les premiers exemplaires à partir d'environ 750 €, notamment grâce à Qualcomm. Le nouvel arrivant sur le marché des PC propose aujourd'hui une gamme étendue de puces, dont un Snapdragon X à 8 cœurs. Intel et AMD devront riposter s'ils ne veulent pas voir le marché leur échapper.

Toutes les machines Copilot+ se ressemblent fortement, principalement en raison de la stratégie marketing de Microsoft. L'argument actuellement mis en avant n'est pas uniquement l'ajout de fonctions IA dédiées, mais aussi une autonomie prolongée. Les cartes graphiques sont donc écartées, malgré leurs capacités impressionnantes en matière d'IA. La dernière génération de cartes dédiées nVidia, les RTX 5000, offre une puissance minimale de 800 TOPS, pouvant atteindre 1824 TOPS !

Trouver (presque) facilement un PC avec un NPU

Pour identifier si la machine que vous convoitez intègre un NPU, vous devez vérifier les caractéristiques techniques du processeur. Pour simplifier cette recherche, voici les règles propres à chaque constructeur que j'ai pu identifier :

  • Chez Qualcomm, c'est simple : tous les Snapdragon X/Elite intègrent un NPU à 45 TOPS.
  • Pour Intel, les Core Ultra 100U et H, 200V et 200H disposent tous d'un NPU, mais ses caractéristiques varient selon les modèles. Seuls les Core 200V sont équipés de la version la plus évoluée permettant la certification Copilot+. Tous les autres proposent un NPU inférieur ou égal à 18 TOPS. Concernant les ordinateurs fixes, seuls les processeurs de la génération Core Ultra 200 (Arrow Lake) embarquent une solution dédiée à l'IA. Des rumeurs suggèrent d'ailleurs qu'une mise à jour devrait arriver au second semestre avec une amélioration significative à ce niveau.
  • Du côté d'AMD, les premières puces équipées d'un NPU sont les Ryzen 7000H ou U, Ryzen 8000 H ou U, suivies par les Ryzen AI. Seules ces dernières permettent d'obtenir une machine certifiée Copilot+. Ces puces sont principalement destinées aux ordinateurs portables, mais on les retrouve également dans des mini-PC au format NUC. Pour les ordinateurs fixes grand public, seuls les Ryzen 5 et 7 8000G intègrent un NPU à 16 TOPS. Les professionnels bénéficient de quelques puces supplémentaires dans la gamme Ryzen Pro.

L'aventure IA n'en est qu'à ses débuts

Si les PC Copilot+ et les Chromebook Plus ont ouvert la voie, c'est désormais au tour de nos PC fixes d'accueillir des fonctions d'IA embarquées. Les principaux fabricants, Intel et AMD, ont d'abord privilégié les machines mobiles pour des raisons évidentes. L'intelligence artificielle était déjà largement prise en charge par les cartes graphiques d'AMD, d'Intel ou de nVidia.

Si les premiers PC fixes dotés d'un NPU sont des mini-PC exploitant des puces conçues pour les ordinateurs portables, d'autres machines arrivent ou sont déjà disponibles. D'un côté, on trouvera des mini-PC équipés de Core Ultra 200V, de Ryzen AI ou encore de puces Snapdragon de Qualcomm, mais il existe aujourd'hui des alternatives, du moins chez Intel. Le fondeur propose dès maintenant un NPU au sein de ses Core Ultra 200 pour PC de bureau. Une mise à jour majeure est attendue en milieu d'année lors du "refresh" de la gamme, qui devrait logiquement inclure la dernière génération de NPU.

Chez AMD, seules quelques puces Ryzen 8000G et certains Ryzen destinés aux stations de travail exploitent un processeur neuronal. Il faudra probablement attendre la prochaine génération de processeurs pour trouver un NPU dans la majorité des puces de la marque.

Des PC sous IA pour quels usages ?

Les applications de l'intelligence artificielle commencent seulement à se démocratiser, et tous les développeurs de logiciels s'efforcent d'intégrer des fonctionnalités spécifiques à l'IA. Cela prend diverses formes : retouche d'images ou de vidéos, génération de contenus visuels ou textuels, compilation et extraction de données, mais aussi des domaines plus complexes comme la sécurité. C'est notamment le cas de Chrome depuis sa mise à jour de février.

Dans nos machines Copilot+ ou Chromebook Plus, les fonctions IA étaient initialement surtout cosmétiques. La première fonctionnalité disponible concernait la gestion avancée de la webcam, permettant par exemple la mise au point automatique, le suivi de l'utilisateur ou encore le floutage d'arrière-plan sans solliciter le processeur ou la carte graphique.

De nombreuses fonctions IA ont d'abord été proposées comme services en ligne. Cette approche soulève cependant plusieurs problèmes : nécessité de souscrire à un service payant, partage de données personnelles avec un éditeur tiers, et utilisation d'une machine distante, parfois située à l'autre bout du monde. Intégrer l'IA directement dans nos appareils répond donc à ces préoccupations.

Si une connexion Internet et/ou un compte utilisateur restent généralement requis, ils servent essentiellement à vérifier que vous respectez les garde-fous mis en place pour que l'intelligence artificielle demeure... intelligente. Il lui arrive en effet de générer des contenus douteux, ce qu'on appelle des "hallucinations". Pour limiter ce phénomène, les éditeurs imposent une vérification par rapport à leurs modèles préalablement entraînés avec d'immenses jeux de données.

Microsoft pousse de tous les côtés

Chez Microsoft, l'IA est promue sur tous les fronts. Il faut dire que le géant de l'édition investit massivement auprès d'OpenAI. Cela se manifeste de différentes façons. Paint s'enrichit d'un assistant permettant de générer des images à partir de descriptions textuelles ; le sous-titrage automatique des vidéos fait son apparition ; la super résolution dans Photos améliore et agrandit les images de basse définition. Sans oublier la fonction Retrouver (Recall) actuellement en développement. Cet outil de recherche devrait faciliter considérablement la localisation de documents, photos, etc. sur votre machine en réalisant des captures d'écran progressives, en les interprétant et en générant automatiquement une base de données.

Mais c'est surtout Office qui vient de connaître une profonde transformation. Tous les logiciels de la suite bureautique disposent désormais d'un bouton Copilot permettant d'exploiter l'IA sur votre machine. Microsoft impose néanmoins deux conditions : un abonnement mensuel bien plus onéreux que la suite classique, et une limite d'utilisation mensuelle (60 requêtes). Dans le cas d'un abonnement familial, seul l'utilisateur principal en bénéficie ! Si vous souhaitez passer à Copilot Pro pour lever certaines restrictions, le tarif grimpe à 22 € par mois... et par utilisateur !

Le lancement Copilot+ de Microsoft a fait grincer des dents

Lors du lancement de Copilot+, Microsoft cherchait à reprendre l'initiative face à Apple dans plusieurs domaines. Il s'agissait effectivement d'insuffler un nouvel élan grâce à l'intelligence artificielle dans nos PC, mais un autre objectif était de réorienter le marché des ordinateurs portables sur un point crucial : l'autonomie. C'est pourquoi Microsoft s'est d'abord appuyé sur Qualcomm plutôt que sur Intel ou AMD.

Lorsque ces deux derniers ont proposé des NPU compatibles, c'est-à-dire offrant des capacités supérieures à 40 TOPS, Microsoft a tardé à valider les machines et à leur permettre de bénéficier des nouveautés apportées par Windows 11. Heureusement, cette situation est désormais résolue et toutes les machines présentant les caractéristiques techniques adéquates en profitent maintenant.

Faut-il se laisser tenter maintenant ou attendre un peu ?

Alors, faut-il adopter dès à présent une machine capable d'accélérer les calculs d'intelligence artificielle ? La réponse est bien plus nuancée qu'un simple oui ou non. Si vous utilisez actuellement un ordinateur sous Windows 10, son renouvellement devient peut-être urgent puisque le support du système d'exploitation s'achèvera en octobre prochain. Dans ce cas, il est effectivement judicieux d'examiner attentivement les Chromebook Plus de Google, les ordinateurs Copilot+ de Microsoft ou, plus généralement, une machine équipée d'un NPU.

Si vous optez pour un Chromebook, je vous recommande une version Plus. Les constructeurs doivent respecter un cahier des charges plus strict, imposant certains composants (écran Full HD, processeur Intel Core ou AMD Ryzen, SSD, webcam Full HD, etc.). Il ne serait d'ailleurs pas surprenant que Google lance cette année une version 2.0 intégrant des puces accélérant l'IA en local.

Pour les autres utilisateurs, l'état actuel du logiciel me laisse penser qu'il n'est pas nécessairement urgent d'acquérir une machine dotée d'un NPU, les fonctionnalités demeurant principalement cosmétiques. En effet, constructeurs et éditeurs se lancent dans l'aventure, mais tout le monde cherche encore le modèle économique idéal.

Côté matériel, nous assistons à des progrès considérables d'une génération à l'autre. Prenons l'exemple d'Intel : la première génération de NPU plafonnait sous les 20 TOPS, la seconde atteint 50 TOPS, et la troisième génération attendue dans les puces Panther Lake fin 2025 devrait presque doubler ces performances. Quant aux éditeurs, ils s'efforcent de développer leurs offres commerciales, mais les tarifs restent élevés ! Comptez une vingtaine d'euros mensuels, avec en prime des limitations chez Microsoft comme chez Google. Par conséquent, attendre que la situation se stabilise me semble la meilleure stratégie. Cela laissera le temps à tous les acteurs d'affiner leurs solutions et de proposer un tarif plus juste, tant pour les logiciels que pour le matériel.

Le cas d'Apple et ses puces M

Chez Apple, l'avance est notable par rapport à la concurrence dans le domaine de l'ordinateur intelligent équipé d'un processeur neuronal. La marque à la pomme a intégré un NPU dès la première génération de puces M, soit dès 2020. Cette puce offrait modestement 11 TOPS. Depuis, l'entreprise a poursuivi son évolution. Aujourd'hui, la puce M4 embarque un processeur neuronal de 38 TOPS, légèrement inférieur aux dernières générations de puces Intel, AMD ou Qualcomm.

Une différence majeure distingue toutefois l'univers Apple de celui du PC : le développement logiciel a démarré bien plus tôt, et de nombreuses applications en tirent déjà parti. C'est pourquoi Apple ne manque jamais de mettre en avant ses performances lors des tests comparatifs, une part significative des outils disponibles exploitant déjà plus efficacement le processeur neuronal. Ce qui lui assure actuellement la première place face à la concurrence !

Sur le même sujet :

Travailler léger et efficacement avec les suites bureautiques en ligne
Dans un monde professionnel où mobilité et flexibilité sont devenus essentiels, les applications bureautiques en ligne représentent une véritable rév…
Comment poser des questions à une intelligence artificielle ? Ce qu'il faut faire et éviter
Avec l'évolution rapide de l'intelligence artificielle (IA), poser des questions à un chatbot devient une alternative de plus en plus efficace aux mo…
Un VPN suffit-il à garantir l'anonymat en ligne ? La vérité sur ce que vous pouvez (et ne pouvez pas) cacher
Je me suis souvent demandé si un simple VPN pouvait réellement garantir mon anonymat sur internet. Cette question, vous vous la posez peut-être aussi…
Mini PC : ce n'est pas la taille qui compte !
Ils tiennent dans la paume de la main mais rivalisent avec les PC de bureau en matière de polyvalence et de connectique. Grâce à des composants issus…
Skype arrive à sa fin : quelles alternatives privilégier aujourd’hui ?
Longtemps symbole de la visioconférence, Skype est désormais en retrait. Microsoft pousse progressivement les utilisateurs vers Microsoft Teams, et l…
Vous écrivez sûrement de mauvais prompts sur ChatGPT, mais tout n'est pas perdu
Pour exploiter pleinement la puissance des chatbots comme ChatGPT, il est essentiel de rédiger des prompts efficaces. Cette règle s’applique aussi au…
Microsoft Office : une version gratuite désormais disponible, mais avec quelques limitations
Microsoft a récemment lancé une version gratuite de ses applications bureautiques, offrant aux utilisateurs un accès sans précédent à Word, Excel et…
ChatGPT Search, l'IA qui réinvente la recherche en ligne
ChatGPT Search marque une étape majeure dans l'évolution des moteurs de recherche. Grâce à l'intelligence artificielle, il propose une expérience plu…
Une tendance IA créative que j’ai testée (et adoptée)
Ces derniers temps, une tendance m’a sauté aux yeux sur les réseaux sociaux : des figurines 3D de style « starter pack » générées par IA. Présentées…
Débuter avec Mistral AI : Guide complet pour maîtriser l'agent conversationnel français
En tant qu'expert en IA conversationnelle, j'ai exploré en profondeur Le Chat (prononcez "le cha"), l'impressionnant agent conversationnel développé…